Pain Box n’a pas volé son nom.

Elle est née d’un long exutoire oscillant entre l’onanisme et la dépression complaisante. Inutile de chercher à trancher entre la vie réelle ou la pure fiction. Aucun mot ne sort au hasard dès lors que la porte hurlante des angoisses est poussée. Mais aucune pensée n’est rationnelle.

Il n'y a aucune corrélation entre le mal qu'elle s'inflige et ce qu'elle en attend. Elle a simplement besoin de temps pour graver sur chaque visage la pensée qui se cache derrière. Lorsque ce sera fait, le jugement tombera plus juste et plus fort.

Rythmée par un ton saccadé, une syntaxe qui ne répond à aucun style particulier, Pain Box n’est qu’un sac à foutre d’éclats de sentiments mal articulés.